Vers la bombe atomique en Ukraine ?

(oui La bombe atomique de faible intensité et missile nucléaire risque d’embraser un conflit local vers un conflit global afin d’en terminer avec le Poutinisme. En effet, l’idée majeure qui règne au travers de l’Europe suite à la montée croissante des propos du Kremlin et de sa propagande nationale repose dans l’utilisation d’arme nucléaire.
Loin sans faute, l’arme nucléaire a un effet dissuasif, mais lorsque différents pays montent en escalade sur une surenchère verbale et militaire, cela laisse penseur. L’apocalypse nucléaire intervient à différents moyens. Dès lors, les propos outranciers afin de masquer une réalité autre : la bombe atomique engendrait un conflit majeur et durable. En effet, l’axe autoritaire et illibérale (ou dans une forme capitalistique bureaucratique étatique comme en Chine) s’actionne à avancer des troupes afin de soutenir durablement une guerre où la question d’un nettoyage ethnique est en cours. Autrement dit, le pouvoir de Vladimir Poutine s’enracine dans un surprenant effort ou en désespoir de cause : la bombe atomique.
Nous ne sommes pas dans la saga Fall Out. Il apparaît conséquemment que l’idée d’un affrontement concernant un Empire souhaitant se reconstruire sous des idées révisionnistes interviendra dans une escalade nucléaire. La forme de dissuasion ne semble plus être remise à l’ordre du jour. En effet, face à un Etat se comporte dans une aspiration à l’autodestruction cela ne peut que paraître que surprenant. Il existe un autre avenir pour la Russie afin de s’orienter sur un véritable chemin démocratique, mais cela suppose objectivement de revoir l’ensemble des relations internationales. Toutefois, la question de l’axe sino-russe soulève des questions majeures. Quel peut-être la réaction de la Chine dans les circonstances que nous connaissons ?
Pourtant, il semble sensible de souligner que la chute du régime en Russie interviendra tôt ou tard en raison des différentes sanctions. L’usage de la bombe atomique ne peut être qu’un subterfuge et la fuite en avant qui conduira à la chute de son régime. De ce fait, les médias à la solde de Moscou peuvent s’exciter au travers d’un verbiage sans fin : ils savent que la Russie a perdu la guerre. De cette manière, le missile nucléaire de différentes portées souligne constamment une menace certes l’Europe, mais les différentes batteries anti-missile notamment supersoniques vont accroître une meilleure défense de l’Europe. Au travers des divergences en Europe sauf à la Hongrie pro-russe de Viktor Òrban, symbole d’un régime en roue libre, dont la démocratie n’existe plus. La question dans le fait de savoir à savoir comment un pays foncièrement europhobe continuant à être soutenu par le contribuable européen fait dans l’Union Européenne ? La bombe atomique laisse place à des accords commerciaux au travers d’un réacteur nucléaire.
Nous le savons : l’expansionnisme du Tsar permet d’en soutenir une drôle d’idées. Dès lors, il convient d’enclencher le processus que sur le continent européen : un seul pays détient l’arme nucléaire à savoir la France. Dans ces conditions précises, il semble nécessaire d’alerter une solution raisonnable : Poutine et ses sbires doivent se retirer de l’ensemble de l’Ukraine (Donbass, Louhansk et Crimée comprise). En effet, il ne s’agit plus de dialoguer à l’issue d’une guerre au travers d’une solution diplomatique : il convient de faire capituler sans condition (même si la Russie n’a pas forcément déclaré la guerre) au travers d’un changement de constitution et d’une démocratisation accélérée de la Russie, ainsi que d’entraîner dès lors : les soldats russes s’avèrent être de la “chair à canon” pour un pouvoir despotique.
Le missile nucléaire (ou une bombe atomique) devrait faire peur à l’Europe et ses alliés. Or, ce ne sont que des paroles d’un mégalomane. S’il appuie sur le bouton : la guerre est finie et il capitulera sans condition.
Dès lors, on peut se demander si finalement malgré le poids des contradictions, le danger nucléaire va-t-il perdurer ? Cette question qui revient frénétiquement en dit long. Ce n’est pas avec les réservistes ou l’appel officieux général qui vont conduire une réalité. D’autant que les armes commencent à manquer à Moscou et les fournisseurs partout dans le monde sont des dictatures s’inscrivant dans une forme de totalitarisme : la Chine, la Corée du Nord, et même l’Iran (dont on connaît le soulèvement pour la chute des Mollahs).
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