Meme n°3 | La social-démocratie

La « social-démocratie » n’a jamais voulu rompre avec le capitalisme. Dans les faits, il s’agit pour elle d’accompagner sciemment une vision afin d’améliorer le « système économique » en créant des mesures sociales. Or, ce n’est pas des « mesurettes sociales » qui vont permettre la mise en application du socialisme. La transformation d’un pays pour enclencher une « transition socialiste » ne peut que se créer via un « gouvernement ouvrier » et non un « gouvernement bourgeois ».

Les socialistes ont clairement admis l’abandon du « socialisme ». Dès lors, il ne peut que se créer une révolte afin d’aboutir à la mise en place rapidement du socialisme. Les « socialistes » issus de la deuxième Internationales ont clairement viré vers le « néolibéralisme ». Les différents programmes où le progrès devait être apporté n’ont pas été appliqués laissant les « forces vives » aux mains de l’extrême-droite. De telles sortes, la dynamique permet d’apporter sciemment que la « copie » est délaissée à l’original. Il en revient foncièrement à la mise en marche que le « social-fascisme » s’inscrit comme une tendance afin de structurer clairement la montée du fascisme dans les pays dans lesquels il passe. Les « pseudo-socialistes » sont des requins. La réalité réside dans le fait que les différents pays où la deuxième internationale est passée, bascule vers l’extrême-droite. Ils admettent dès lors que les discours ne sont que du « vent ».
La « social-démocratie » se résume à essayer de mettre en place un « programme minimal » à défaut d’une structure solide quand ces derniers ne font le travail des « néolibéraux » et des « nationalistes ». De plus, la « social-démocratie » s’allie de façon traditionnelle aux capitalistes en cas d’insurrection comme les assassinats de Karl Liebknecht et Rosa Luxemburg. De cette sorte, il convient de souligner que la « social-démocratie » sera toujours un échec. Le rouleau capitaliste sera toujours plus puissant que l’aspiration vers une « transition socialiste ». Dès lors, il convient de déterminer que la « social-démocratie » ne peut que mettre les pansements sur les plaies du capitalisme afin de le rendre meilleur et plus vivable.
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