Newsletter n°4 – L’actualité du webzine

Notre webzine a subi cette semaine un « raid » et un flux inhabituel, dont au premier abord nous avons cru y voir une attaque DDOS. Après des recherches, nous avons vu que l’ensemble du trafic concernait un article isolé. Il ne convenait pas à une partie du « web » qui ne s’avère pas être notre lectorat. Nous avons d’ailleurs reçu des menaces de mort. Nous n’allons certes pas déposer plainte ou signaler à travers une main courante. Toutefois, nous ne laisserons personne nous intimider sur ce que l’on peut ou ce que l’on a le droit d’écrire.

Copie-Ecran de messenger – 22/03/2021

Afin d’apaiser la situation, nous avons décidé de fermer le site internet jusqu’au 1er avril (en publiant un communiqué de presse) tout en continuant le travail que nous opérons sur notre « webzine ». C’est un moment délicat qu’il faut gérer et nous pensons que nous avons utilisé l’ensemble des outils de communication que nous disposions. Du coup, nous en avons profité pour sourcer clairement notre article et le développer plus longuement. En effet, notre article manquait de sources scientifiques concernant les études ou la vulgarisation scientifique. Il s’agit d’une erreur : ce qui est logique pour nous ne l’est pas forcément pour tout le monde.

Pendant que la « fermeture » de notre site internet, nous profitons également de ce moment de calme pour souffler et reprendre de l’air. Nous nous remettons dans le cadre de la bataille idéologique dans laquelle nous nous situons.

Nous avons également pour ambition de changer le « thème » de notre webzine afin de l’inscrire dans un cadre où il reflète réellement le caractère d’un webzine. De ce fait, nous sommes en train d’explorer et d’analyser les différents thèmes afin d’en choisir un qui nous semble le plus adapté pour y diffuser nos idées et l’ensemble des outils que nous utilisons.

Toutefois, ce n’est pas parce que le site (tout comme celui de l’association) a été « offline » pendant une dizaine de jours que l’actualité s’est arrêté. Au contraire, nous avons poursuivi l’écriture de nos articles et réenclenché l’outil fondamental qui s’avère être le « podcast ». En effet, nous avons le privilège d’avoir deux stations d’enregistrement. L’une quasiment mobile et l’autre qui s’inscrit davantage dans une webradio. D’ailleurs à terme, la nécessité de transformer nos podcasts afin de fonder une webradio reste un objectif à tenir pour l’année 2023.

Dès à présent des « cartes d’auditeur » sont vendues sur le site de la « boutique » de Révolution et Libertés pour une valeur de 20 euros au format A6 cartonné. Elle est entièrement individualisée. Cela permet de soutenir nos différents travaux sur le podcast puisque nous allons enclencher désormais plusieurs épisodes par semaine.

Nous en avons profité également pour changer notre « ligne éditoriale ». En effet, nous l’avons transformée dans un « projet » afin de créer plus de souplesse. En effet, nous avons été clairs dans celui-ci. En effet, il semblerait que nous ayons émis un « projet » qui tient la route. Mais notre ambition s’avère particulièrement élevée par rapport à ce que l’on peut faire.

Notre actualité pendant ce « tsunami » a débouché sur la version finale de notre logo comme vous avez pu le remarquer au sein de notre newsletter. Il s’agit des travaux de l’ombre qui ont été masqués ces derniers jours. C’est un fait dommageable et préjudiciable en ce qu’il nous concerne. En effet, nous voulions en faire une véritable présentation. En effet, nous avons travaillé pendant des semaines sur ce dernier afin qu’il représente réellement les valeurs de notre webzine.

Concernant la question de la propriété intellectuelle, nous essayons au maximum de rester dans l’univers « libre de droits » autant sur l’aspect de nos articles que dans nos podcasts afin de ne pas avoir de problèmes avec ceux qui ont des « droits d’auteur » et recevoir des « mises en demeure », dont le montant peut effrayer. La dernière que nous avons reçue en 2019, nous réclamait près de 5 000 euros de dommages et intérêts. Cela est effrayant de vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête.

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