L’organisation de la structure de la Newsletter
La question du choix de la Newsletter a été de choisir une nouvelle formule plus adaptée par rapport à ce que nous pouvions produire en termes de quantité de travail et d’investissement dans le projet de “Révolution et Libertés”.
Une charge de travail colossale
Nous avons clairement mis au point un ensemble d’outils pour les adhérents et les non-adhérents. En effet, il semble plus adapté d’avoir une communauté qui interagit sur les différents articles, mais aussi de réunir différents groupes de personnes afin de pouvoir faire avancer la cause et mettre en avant nos idées politiques. De ce fait, nous avons appris de nos erreurs, notamment sur la question de la Newsletter. Cette dernière a vocation à être gratuite sinon, cela n’a pas vraiment de sens. D’ailleurs, qui irait payer une Newsletter ? En effet, il existe pleins de solutions pour s’informer à l’ère du digital. Nous nous sommes trompés et nous assumons notre erreur. Toutefois, nous n’abandonnons pas la question de l’organisation de cette dernière. En effet, nous allons produire une Newsletter, mais sous un autre format et plus léger. Nous ambitionnons de la réaliser sur quatre pages. Ce qu’il s’avère être plus crédible et moins volumineux. De ce fait, nous admettons que nous avons eu les yeux plus gros que le ventre.
Nous avons clairement compris que le rythme d’une Newsletter toutes les deux semaines d’environ huit pages avec un dossier thématique contenu de la petite équipe dans laquelle nous sommes n’était pas tenable. Si l’idée réside dans le fait de trouver des personnes qui puissent travailler exclusivement sur cette dernière au travers d’une commission entièrement dédiée à cette dernière. Le fait de travailler sur les deux apparaît clairement comme un rythme non-soutenable qui peut déboucher sur un “burn-out militant”.
Nous sommes actuellement dans une cadence qui nous permet de rattraper le retard lié aux problèmes du mois de janvier tout en ayant une sérieuse avance quant à la production d’articles. De ce fait, nous allons poursuivre notre processus de création et de développement du projet concernant la Newsletter, mais avec des objectifs crédibles.
Une Newsletter et un magazine ?
Nous avons pour ambition de mettre sur pied dans quinze jours un magazine thématique numérique et sous format papier. Toutefois, la question de l’avancement dans la signature des statuts prend du retard et nous sommes actuellement dans un flou juridique concernant notre statut puisque nous sommes une “association de fait”. Nous avons besoin d’une recherche dans la crédibilité que nous voulons au travers d’une Newsletter hebdomadaire et d’un magazine. Le magazine serait toutefois mensuel, voire trimestrielle (sous la forme d’une revue) si les conditions ne permettent pas de créer le magazine tout de suite.
Et les abonnements ? En ce qu’il concerne la construction de la Newsletter, nous allons travailler avec notre communauté afin de trouver un juste équilibre dans l’abonnement au magazine ou à la revue. Dans tous les cas, nous essayerons de mettre en ligne quelque chose d’ici la fin du mois. Avec un dossier thématique important. Nous espérons avoir les fonds nécessaires pour le faire éditer en 100 exemplaires pour commencer. Ce qui reviendrait pas si cher si nous arrivions à faire écouler et connaître notre magazine et/ou revue.
Et le statut juridique ?
Actuellement, nous essayons de fonder une association de Loi 1901. Toutefois, si cela ne fonctionne pas dans les semaines et mois à venir, il faudra trouver une alternative à travers la création (assez malheureuse) d’une société individuelle, c’est-à-dire en tant qu’autoentrepreneur. Cependant, le statut permettrait dans l’immédiat de sécuriser l’ensemble de la propriété intellectuelle du projet “Révolution et Libertés”. Ainsi, la communauté fonctionnerait comme si de rien n’était, mais la question des cotisations pourrait toutefois déboucher sur une SCOP ou SCIC. Toutefois, nous ne sommes point à ce stade au niveau du raisonnement. En effet, la différence entre l’entreprise et “l’association de fait” ou de “Loi de 1901” réside dans le fait que l’une a pour objectif de dégager des bénéfices alors que l’autre a pour objectif d’être à l’équilibre entre les dépenses et les recettes.