Les portraits de Julian

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La protection animale a tenté sur les réseaux sociaux de retirer l’appartenance à l’Humanité en le diffamant en boucle Julian, un SDF.

Des associations comme la Fondation Brigitte Bardot et l’héritière des Usines Bardot, l’Association Stéphane Lamart ou encore Savoir Donner beigne dans la xénophobie et l’obscurantisme pour théoriquement protéger les animaux.

En effet, en s’attaquant à l’intégrité de Julian, ces associations d’extrême-droite ont pour objectif de faire sortir de l’espèce Humaine, les Sans-logis et les personnes n’ayant pas la nationalité française. D’autant que les attaques en raison de sa nationalité et de son origine ont montré l’ignominie de leurs actes et de leurs pensées.

Le vol du chiot de Julian par l’association Cause Animale du Nord a pris une ampleur importante et cela dépasse les réactionnaires dans leurs différentes magouilles. L’association souhaite par ailleurs pratiquer l’Eugénisme, c’est une des raisons qu’elle attire beaucoup de néo-nazis. L’une des personnes qui a agressé faisait partie de Troisième voie (proche de Serge Ayoub).

Un vaste trafic d’animaux est organisé solidement dans un but lucratif se basant sur le vol d’animaux à travers des agressions féroces et le recel à des prix extravaguant, pour que les animaux volés soient placés en famille d’accueil, avant de trouver des futurs propriétaires dans des conditions sanitaires misérables. Ce business très lucratif pourrait s’étendre entre la France et la Belgique, voir plus. L’animal que ces réactionnaires prétendent défendre n’est ni plus ni moins qu’un objet ou un d’une entreprise. Il n’y a finalement pas de grandes différences entre eux et la FNSEA.

Aussi, des actes de maltraitances sont omniprésents. Un signalement a d’ailleurs été fait dans ce sens par les copropriétaires de l’immeuble dont il habite, et pour insalubrité. Ces méthodes sur les êtres vivants ont existé dans le passé. Le vol des bébés sous l’Espagne de Franco ou encore l’Argentine de général Videla fût une réalité.

De plus, en matière de mépris du prolétariat, le sans-logis est un de leur adversaire. Ce dernier est vu comme un pestiféré. Ce scandale est à l’image de la crise que nous traversons.

Par conséquent, il fallait marquer le coup, face à la diffamation gratuite qui se diffuse sur la toile comme un TGV. De ce fait, quelques portraits de Julian rappellent la réalité, cela nous permet de constater sa tristesse, à travers les larmes dans ses yeux, ainsi que les yeux rouges. Julian est un homme brisé, il n’avait que son chien dans sa vie.

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