Quand le patron de l’#express tend la main à l’extrême droite américaine. #Cuba #Castro #Bacardi

L’Humanité, quel bon journal ! L’Express, je trouvais que ce magazine sentait mauvais, depuis pas mal de temps, mais à ce point-là, je n’avais imaginé. Alors je suis allé consulté l’article. Mais j’ai conclu très vite.

L’Express, quel bon papier toilette ! Ah non, on risque de se faire mal aux fesses. Un torchon ? Non toujours pas, cela risque d’abimer la vaisselle et tout ce que l’on essuie avec. Alors, comme dit un certain Jean-Pierre Coffe : « C’est de la merde ! ». On y apprend aujourd’hui que Christophe Barbier, chef de l’Express s’en prend à Cuba de manière frontale, avec une argumentation digne de l’extrême droite américaine.

Ce n’est pas nouveau venant de cet ultralibéral chevronné. Mais quand il annonce que Castro est un dictateur pour se donner une certaine légitimité dans sa critique, il est dû côté des pires dictateurs en réalité. Impérialisme américain oblige. Mais cela, il n’en parlera jamais. Cet impérialiste ne parle pas de l’embargo américain, la vérité dérange, mettre à genou un peuple doit le faire rire voir le faire jubiler dans son bureau.Circulez, il y a rien à voir.

On se souvient de Pinochet, un dictateur soutenu par les grands amis de Barbier. L’article d’ailleurs parle de Pinochet en essayant de le comparer à Castro. Il parait que le point de Godwin existe, alors j’attribue un premier point à l’Express.

Quant à Christophe j’espère qu’un jour, celui qui lui taille la barbe le ratera pas ! Faut bien qu’il porte son nom après tout. Barbier, c’est vrai que c’est un sacré nom.

Ah, je sais, quand il s’agit de solidarité, il n’en veut pas. Lui ce qu’il préfère, c’est la guerre, c’est la bourgeoisie, finalement, c’est le capitalisme et l’exploitation des pays par les États-Unis d’Amérique. Bref, on l’aura deviné, c’est l’ennemi incarné des peuples et surtout des travailleurs.

Les dictateurs de la pire espèce sont en conclusion les amis de ce Barbier. Le socialisme, c’est l’avenir, Barbier, c’est la guerre, l’impérialisme, l’exploitation du travailleur par la bourgeoisie.

Que vive le peuple libre face à l’embargo américain et de la guerre financière que mènent les rapaces de la maison blanche ou du pentagone. Oui, vive le peuple cubain qui a su se défaire de ce dictateur qui se nommait Fulgencio Batista (dont Barbier doit faire une sacré incarnation, le totalitarisme américain, c’est bien ! ) !

Le peuple Cubain se démènera de cette guerre économique et financière. Le peuple cubain est en colère, c’est vrai, mais il est en colère contre l’impérialisme américain et la bourgeoisie américaine ! On peut entendre : « À Cuba, nous avons affaire à un vrai totalitarisme qui, depuis le départ, veut intervenir dans chaque esprit en créant un “homme nouveau”. ». Bref, nous l’aurons compris, l’anticastrisme est fortement implanté chez l’Express.