La publicité n’est que pollution
De nos jours la publicité fait partie de notre vie, elle est omniprésente. Elle est incontournable de notre mode de consommation ainsi que notre système économique. Elle règle et nous dicte nos envies. Pourtant au-delà de tous ces aspects que nous avons traités, la publicité est avant tout une source de pollution.
La pollution visuelle
Partout dans le monde, de nombreux panneaux publicitaires ont remplacé le paysage pour nous ordonner des injonctions dans nos achats. Il nous oblige et nous oriente dans nos achats. L’espace public est devenu un vaste supermarché. Chaque endroit vendu à ces entreprises par l’état génère des publicités et donc génère des bénéfices.
Les bénéfices générés par les entreprises par d’autre entreprise sont de plus en plus omniprésents, comme le groupe Publicis.
Pourtant la publicité visuelle détruit notre planète, elle n’est pas écologique, et entraîne des constructions, par conséquent pour qu’un groupe publicitaire puisse vivre, il faut qu’il détruise, rase impose la loi de la consommation.
La loi de la consommation pour un publicitaire est « la loi du béton ». Comme disaient certains : « du béton et vous aurez du pognon ». D’accord mais les panneaux publicitaires ne sont pas du béton, mais souvent du métal ou des affiches, mais l’idée est la même.
Partout là où la publicité s’est installée, la démocratie s’est retirée. La publicité n’est ni plus ni moins que la prostitution des entreprises, sans se soucier des conséquences de cette publicité.
Dans certains endroits publics, elle devenu une forme d’agression. Ce n’est pas la délinquance qui crée cette agression violente, honteuse, et inhumaine, mais de l’état de droit organisé par nos chers députés. Ainsi dans les métros particulièrement ceux de Paris, nous assistons à des violences visuelles, à des ordres venant d’entreprise soutenue par la RATP et la SNCF.
La délinquance publicitaire est une agression concrète, car elle touche les sens psychologiques et psychiques de l’individu. Nous en subissons clairement les conséquences sur nos actions dans notre vie quotidienne.
Les lois sur les agences « de communication » dit les agences publicitaires mettent en avant cette économie de consommation et d’esclavage de l’Homme à la consommation. Il faut réviser le statut de l’être humain par rapport à ces agences d’exploitation.
Il est temps de prendre vraiment l’importance de l’espace public au niveau de la société humaine telle que nous la connaissons, l’espace public n’appartient pas aux entreprises et ne doit pas être donné aux entreprises privées pour faire des bénéfices privés sur la santé des citoyens. Nulle concession ne doit être réalisée dans ce cadre et cette orientation. On ne vend pas quelque chose nocif pour en faire des profits.
La pollution papier
Nos boîtes aux lettres sont inondées des prospectus, c’est-à-dire des tracts publicitaires. Or les tracts publicitaires ne sont que des papiers imprimés en masse.
Or comme nous savons l’origine du papier vient du bois issu des arbres qui sont abattus par centaine de milliers chaque année au nom de l’économie. Mais aussi il est très important de souligner que ce sont les arbres qui nous donnent la raison première d’exister, la photosynthèse permet la synthétisassions du dioxygène, obligatoire pour l’ensemble des espèces vivantes.
Contrairement à ce que nous pensons le recyclage du papier au niveau de la publicité, est totalement inefficace puisqu’il n’empêche en rien la multiplication de la production de papier en vue d’être utilisé comme publicité.
De plus au niveau du rendement de la publicité, on se rend compte très vite, qu’il faut une quantité importante, pour mettre en avant une efficacité concrète.
Aussi niveau de l’impact sur la nature autre que celui de la production même du papier, il est important. La publicité entraîne une vraie catastrophe écologique due au jet même de cette publicité dans la nature.
Il est vrai qu’il existe des annotations pour limiter cette pollution à travers la phrase : « ne pas jeter sur la voie publique ». Mais ce n’est pas cela qui empêche nos rues de devenir des poubelles de publicité.
La publicité sur le long terme tend à rendre les espaces où de vivons de poubelle géante. Environ Plus de quarante kilos de publicité sont donnés à chaque habitant en France. Ce qui sur l’ensemble de la population crée une masse dépassant les consciences.
La pollution électronique
Lorsque nous parlons de publicité électronique nous faisons obligatoirement référence au spamming, ainsi que les publicités activées suite à des sites spécifiques.
Mais que ce soit l’un ou l’autre, il est sûr qu’ils ont les mêmes effets sur l’Homme et sur la nature. Si leur effet n’est pas direct, les conséquences sont multiples.
En effet, internet en tant que technologie de réseau utilise des serveurs pour permettre l’échange de donner entre les internautes. Or au niveau de chaque serveur il peut recevoir une quantité d’information donnée et que la publicité tend à saturer les serveurs en la faisant passer pour une donnée. On comprend que nombre de serveurs sont utilisés par les publicités, que celle-ci peut les faire saturer.
Ensuite il vient de parler de l’énergie utilisée pour que fonctionnent ces mêmes serveurs. Évidemment nous tomber sur l’électricité, pourtant dans notre pays elle est créée en majorité par les centrales nucléaires. Ainsi l’énergie nucléaire comme nous le savons, n’est pas une énergie propre. Chaque quantité d’électricité créée nécessite une quantité déterminée de produits issus de l’industrie nucléaire.
Or le nucléaire (organe non recyclable et non dégradable) tend à assurer une ligne claire puisqu’il est utilisé et crée nécessairement une pollution non réversible. C’est de cette cause essentielle que les publicités électroniques sont nocives. A chaque publicité utilisée, une dette écologique s’organise. Chaque fois qu’une publicité s’ouvre lors de l’utilisation d’internet, une vision de détérioration de la société s’organise.
Les sites qui véhiculent des pages publicitaires sont responsables de la pollution émise par les centrales nucléaires. Des mesures doivent être prises pour les limiter, comme l’intégration d’une publicité dans le site même, ou la taxation élevée des pages publicités crée, ou encore l’augmentation des services de prestation des serveurs.
Internet au niveau de son idéologie de base n’a pas été fait pour être une zone de pollution et d’agression, mais une zone de liberté de pensée.
PLB